Comment devenir orthodontiste ? Un guide complet pour réussir votre carrière en orthodontie
Introduction : Qu’est ce qu’un orthodontiste ?
L’orthodontiste est un professionnel de santé spécialisé dans le diagnostic, la prévention et la correction des malocclusions (mauvaises positions des dents et des mâchoires) à l’aide de dispositifs comme les appareils orthodontiques, les aligneurs invisibles ou encore les orthèses. Devenir Orthodontiste c'est travailler à améliorer à la fois l'esthétique du sourire et la santé bucco-dentaire globale, incluant des fonctions aussi cruciales que la mastication, la phonation et la respiration.
Les anomalies orthodontiques peuvent avoir des conséquences importantes sur la santé générale, comme des difficultés de mastication ou de déglutition, ainsi que des troubles articulaires ou respiratoires. L'orthodontiste joue donc un rôle clé dans la prévention et le traitement de ces problèmes fonctionnels.
Lorsqu’on envisage une spécialisation en orthodontie, le choix du parcours éducatif est crucial.
L’Internat en Orthodontie et l’École Supérieure d’Orthodontie (ESO) offrent deux parcours distincts, chacun avec ses avantages uniques, façonnés pour répondre à différents besoins professionnels et personnels des étudiants.
Pourquoi devenir Orthodontiste ?
Un métier valorisant
Voir la transformation physique et émotionnelle des patients est une des principales sources de satisfaction pour les orthodontistes. En redonnant confiance à vos patients à travers un sourire plus harmonieux, vous participez non seulement à leur bien-être esthétique, mais aussi à leur santé fonctionnelle. Selon l’American Association of Orthodontists (AAO), 92 % des patients rapportent une amélioration significative de leur qualité de vie après un traitement orthodontique.
Une forte demande
L’orthodontie connaît une demande croissante, tant pour les enfants que pour les adultes. En Europe, la prévalence des malocclusions est estimée à 20 % à 30 % de la population générale, nécessitant un traitement orthodontique. En France, environ 2 millions de patients suivent actuellement un traitement orthodontique. La demande pour les aligneurs invisibles chez les adultes devrait croître de 15 % par an d’ici 2025, alimentant une forte demande de praticiens qualifiés.
De nombreuses opportunités de carrière
Les orthodontistes peuvent travailler dans des environnements variés : cabinets privés, centres de santé, cliniques spécialisées, hôpitaux, ou en tant que salariés. L’option du salariat permet une plus grande sécurité financière et administrative, tandis que l'exercice libéral offre une autonomie accrue. En France, 65 % des orthodontistes exercent en libéral avec la possibilité de créer leur propre cabinet. Les perspectives de spécialisation en orthodontie esthétique ou chirurgicale renforcent également les possibilités de diversification.
Des revenus attractif
L’orthodontie est l’une des spécialisations dentaires les mieux rémunérées. En France, les orthodontistes perçoivent en moyenne un revenu annuel brut de 80 000 € à 150 000 €, mais les revenus peuvent atteindre jusqu’à 400 000 € selon l’expérience et le lieu d'exercice. À l'international, les orthodontistes aux États-Unis gagnent en moyenne 230 000 $, et jusqu’à 400 000 $ pour les plus expérimentés.
une spécialisation en constante évolution
Les dispositifs orthodontiques, comme les aligneurs invisibles, les appareils linguals et les technologies d’imagerie 3D (scanners intra-oraux, simulations numériques), révolutionnent le secteur. Selon MarketsandMarkets, le marché des aligneurs invisibles atteindra 8,2 milliards de dollars d’ici 2026. L'orthodontiste doit donc rester à la pointe des technologies pour offrir des traitements personnalisés et efficaces.
Équilibre entre sciences médicales et relation humaine
L'orthodontie est une spécialité où la technique médicale rencontre la relation humaine. Les traitements orthodontiques durent en moyenne de 12 à 36 mois, ce qui permet de tisser des relations de confiance avec les patients. Les qualités humaines telles que la pédagogie, l’écoute active et la gestion du stress sont essentielles pour gérer les attentes des patients et assurer un bon déroulement du traitement.
Un métier valorisant
Voir la transformation physique et émotionnelle des patients est une des principales sources de satisfaction pour les orthodontistes. En redonnant confiance à vos patients à travers un sourire plus harmonieux, vous participez non seulement à leur bien-être esthétique, mais aussi à leur santé fonctionnelle. Selon l’American Association of Orthodontists (AAO), 92 % des patients rapportent une amélioration significative de leur qualité de vie après un traitement orthodontique.
une forte demande
L’orthodontie connaît une demande croissante, tant pour les enfants que pour les adultes. En Europe, la prévalence des malocclusions est estimée à 20 % à 30 % de la population générale, nécessitant un traitement orthodontique. En France, environ 2 millions de patients suivent actuellement un traitement orthodontique. La demande pour les aligneurs invisibles chez les adultes devrait croître de 15 % par an d’ici 2025, alimentant une forte demande de praticiens qualifiés.
de nombreuses opportunités de carrière
Les orthodontistes peuvent travailler dans des environnements variés : cabinets privés, centres de santé, cliniques spécialisées, hôpitaux, ou en tant que salariés. L’option du salariat permet une plus grande sécurité financière et administrative, tandis que l'exercice libéral offre une autonomie accrue. En France, 65 % des orthodontistes exercent en libéral avec la possibilité de créer leur propre cabinet. Les perspectives de spécialisation en orthodontie esthétique ou chirurgicale renforcent également les possibilités de diversification.
Des revenus attractif
L’orthodontie est l’une des spécialisations dentaires les mieux rémunérées. En France, les orthodontistes perçoivent en moyenne un revenu annuel brut de 80 000 € à 150 000 €, mais les revenus peuvent atteindre jusqu’à 400 000 € selon l’expérience et le lieu d'exercice. À l'international, les orthodontistes aux États-Unis gagnent en moyenne 230 000 $, et jusqu’à 400 000 $ pour les plus expérimentés.
Une spécialisation en constante évolution
Les dispositifs orthodontiques, comme les aligneurs invisibles, les appareils linguals et les technologies d’imagerie 3D (scanners intra-oraux, simulations numériques), révolutionnent le secteur. Selon MarketsandMarkets, le marché des aligneurs invisibles atteindra 8,2 milliards de dollars d’ici 2026. L'orthodontiste doit donc rester à la pointe des technologies pour offrir des traitements personnalisés et efficaces.
équilibre entre sciences médicales et relation humaine
L'orthodontie est une spécialité où la technique médicale rencontre la relation humaine. Les traitements orthodontiques durent en moyenne de 12 à 36 mois, ce qui permet de tisser des relations de confiance avec les patients. Les qualités humaines telles que la pédagogie, l’écoute active et la gestion du stress sont essentielles pour gérer les attentes des patients et assurer un bon déroulement du traitement.
Le parcours académique pour devenir orthodontiste
Études initiales : devenir chirurgien-dentiste
Avant de se spécialiser en orthodontie, il faut obtenir le titre de chirurgien-dentiste. Ce cursus dure en moyenne 6 ans en France, mais il existe également des alternatives à l’étranger.
Accès aux études dentaires en France
En France, pour intégrer des études d’odontologie, il faut passer par le système de PACES (première année commune aux études de santé) ou les nouvelles voies comme le PASS/L.AS (Parcours Accès Santé Spécifique ou Licence Accès Santé). Le taux de réussite à ces concours est relativement faible, avec environ 10 % à 15 % d’étudiants admis chaque année.
Étudier la dentisterie à l’étranger
Plusieurs pays européens proposent des études en dentisterie de qualité, souvent avec des conditions d’admission plus accessibles que le système français :
- Roumanie : L’Université de Cluj attire de nombreux étudiants français pour ses programmes en médecine dentaire. Les études durent 6 ans, et les frais de scolarité varient entre 5 000 € et 6 000 € par an.
- Espagne et Portugal : Des villes comme Madrid, Barcelone, Lisbonne, et Porto offrent également des formations en odontologie, avec des frais de scolarité allant de 10 000 € à 20 000 € par an. Ces programmes sont souvent proposés en anglais et attirent des étudiants de toute l’Europe.
Le cursus d’odontologie en France
Le diplôme de chirurgie dentaire est structuré en trois cycles :
- 1er cycle (3 ans) : Acquisition des bases en sciences médicales (anatomie, biologie, physiologie) et introduction à la pratique clinique.
- 2e cycle (2 ans) : Formation pratique intensifiée, avec des stages en hôpital et en cabinet dentaire.
- 3e cycle (1 an) : Cycle court ou long selon si l’étudiant souhaite se spécialiser.
À la fin de ce parcours, les étudiants obtiennent le Diplôme d’État de Docteur en Chirurgie Dentaire, nécessaire pour exercer en tant que dentiste.
La spécialisation en orthodontie : l’internat
L’internat en orthodontie est la principale voie pour devenir ortho. Il s’agit d’un concours très sélectif avec environ 30 à 40 places disponibles chaque année pour l’orthodontie en France.
Les conditions d’accès
Pour accéder à l’internat en orthodontie, les étudiants doivent passer un concours national en fin de 5e année d’odontologie. Le nombre de places est limité, et les étudiants doivent choisir leur spécialité en fonction de leur classement.
Durée et contenu de la formation
– Durée : L’internat en orthodontie dure 3 ans. – Contenu : Les étudiants suivent des cours théoriques sur les techniques orthodontiques et effectuent des stages pratiques. Ils obtiennent à la fin de cette formation le Diplôme d’Études Spécialisées (DES) en Orthopédie Dento-Faciale, leur permettant d’exercer comme orthodontistes.
Découvrir l'ESO
L’ESO a mis au point un programme d’enseignement conçu sur un projet pédagogique éprouvé permettant une assimilation optimale des connaissances.
Les alternatives à l’internat : ESO, DU, et formations à l’étranger
L’École Supérieure d’Orthodontie (ESO)
L’École Supérieure d’Orthodontie (ESO) est une alternative sérieuse à l’internat en France. La formation s’étend sur 3 ans avec un total de 656 heures de cours, principalement axés sur la pratique clinique et l’accompagnement personnalisé.
Diplôme Universitaire (DU) en Orthodontie
De nombreuses universités françaises proposent des Diplômes Universitaires (DU) d’orthodontie accessibles aux chirurgiens-dentistes diplômés. Ces formations durent généralement 2 à 3 ans et permettent d’acquérir des compétences de base en orthodontie.
Formations à l’étranger
Les États-Unis, le Canada, l’Espagne, et d’autres pays européens offrent des masters spécialisés en orthodontie. Par exemple, le Master of Science in Orthodontics aux États-Unis dure 2 à 3 ans, mais les frais de scolarité peuvent atteindre 100 000 à 150 000 $ par an.
Le coût des études pour devenir orthodontiste
Les coûts des études varient considérablement en fonction du pays et du programme choisi :
- En France : Les frais d’études dentaires sont relativement faibles, autour de 500 à 1 000 € par an dans les universités publiques.
- Formations spécialisées : Comme les DU ou l’ESO, ces formations peuvent coûter entre 10 000 € et 20 000 €.
- À l’étranger : Les formations, notamment aux États-Unis, peuvent s’élever à plusieurs dizaines de milliers d’euros par an.
Les compétences, responsabilités, et le quotidien d’un orthodontiste
Compétences techniques
Compétences relationnelles et gestion des patients
La gestion des relations avec les patients est essentielle en orthodontie, car les traitements s’étalent souvent sur une période de 12 à 36 mois. L’orthodontiste doit non seulement fournir des soins cliniques de qualité, mais aussi établir une relation de confiance avec ses patients.
Écoute active et communication
L’orthodontiste doit être capable d’expliquer les options de traitement, de répondre aux questions des patients et de gérer leurs attentes. Selon une étude de l’Université de Harvard, 90 % des patients estiment que la qualité de la communication avec leur orthodontiste est cruciale pour leur satisfaction globale.
Gestion des attentes et du stress : Les patients, qu’ils soient adultes ou adolescents, peuvent avoir des attentes irréalistes concernant la durée ou les résultats esthétiques du traitement. L’orthodontiste doit donc savoir gérer ces attentes, tout en fournissant des explications claires sur les différentes phases du traitement et les potentiels ajustements nécessaires.
Suivi à long terme : Après la phase active du traitement, un suivi post-traitement est nécessaire pour éviter la récidive. Environ 20 % à 25 % des patients peuvent observer une récidive s’ils ne respectent pas les recommandations concernant les appareils de rétention, selon une étude du British Journal of Orthodontics.
Responsabilités administratives et gestion d’un cabinet
Les orthodontistes qui exercent en libéral doivent également gérer les aspects administratifs de leur cabinet.
Gestion d’équipe : La plupart des cabinets d’orthodontie emploient plusieurs personnes, comme des assistants dentaires et des secrétaires. L’orthodontiste doit veiller à la bonne coordination et à la gestion de l’équipe, en assurant la qualité du service rendu aux patients.
Gestion financière : En France, un traitement orthodontique complet peut coûter entre 2 500 € et 7 000 €, selon la complexité du cas. L’orthodontiste doit donc gérer les finances de son cabinet, incluant la facturation, les relations avec les mutuelles et les patients, ainsi que la gestion des charges professionnelles.
Le quotidien d’un orthodontiste
Le quotidien d’un orthodontiste varie en fonction de son mode d’exercice (libéral ou salarié). En moyenne, un orthodontiste voit entre 15 et 20 patients par jour. Les consultations initiales sont plus longues, durant environ 30 à 45 minutes, tandis que les visites de suivi durent généralement 15 à 30 minutes.
Formation continue : Les technologies orthodontiques évoluent rapidement. En moyenne, un orthodontiste consacre 5 % à 10 % de son temps à se former aux nouvelles techniques, que ce soit par des congrès, des séminaires ou des formations en ligne. Cela inclut notamment l’utilisation des scanners intra-oraux, des systèmes d’imagerie 3D, et des aligneurs invisibles.
Les voies d’évolution professionnelle
et les spécialisations supplémentaires
Spécialisation
en orthodontie chirurgicale
Un orthodontiste peut choisir de se spécialiser dans la chirurgie orthognathique, une discipline qui combine l’orthodontie et la chirurgie maxillo-faciale pour traiter les dysmorphoses sévères de la mâchoire. Cette spécialisation permet de traiter les cas les plus complexes, notamment chez les patients présentant des malformations faciales importantes.
Fréquence des cas : Environ 5 % à 10 % des patients orthodontiques nécessitent une intervention chirurgicale pour corriger des malocclusions sévères, selon une étude publiée dans le Journal of Oral and Maxillofacial Surgery.
Formation continue
et nouvelles technologies
Avec l’évolution rapide des technologies orthodontiques, se former en continu est indispensable pour rester compétitif et offrir les meilleurs soins aux patients. Voici quelques domaines dans lesquels un orthodontiste peut se spécialiser :
Aligneurs invisibles : Les aligneurs invisibles, tels qu’Invisalign, ont révolutionné le traitement orthodontique chez les adultes. Environ 30 % des patients adultes optent pour les aligneurs invisibles, selon des études publiées dans le European Journal of Orthodontics.
Imagerie 3D et scanners intra-oraux : La modélisation numérique et l’utilisation des scanners intra-oraux sont devenues essentielles dans les cabinets orthodontiques modernes. Ces technologies permettent de créer des empreintes dentaires précises et de simuler les résultats avant et après traitement.
Enseignement
et recherche
Certains orthodontistes expérimentés choisissent de se tourner vers l’enseignement ou la recherche pour transmettre leurs connaissances et contribuer aux avancées de la spécialité.
Enseignement universitaire : Les orthodontistes peuvent enseigner dans des facultés d’odontologie, en formant la prochaine génération de spécialistes. En général, un DES ou une solide expérience clinique est requise pour accéder à ces postes.
Recherche clinique : L’orthodontie est en constante évolution, et les orthodontistes qui participent à la recherche clinique contribuent au développement de nouvelles techniques, matériaux et traitements. Les domaines de recherche actuels incluent l’optimisation des aligneurs invisibles et le développement de nouveaux biomatériaux.
Expansion
et gestion de cabinet
Certains orthodontistes choisissent d’ouvrir plusieurs cabinets dans différentes villes ou régions, ce qui leur permet d’étendre leur activité et d’augmenter leur volume de patients. Cela implique toutefois une gestion rigoureuse des équipes, des plannings et des finances sur plusieurs sites.
Intégration de nouvelles spécialités : Un orthodontiste peut aussi décider d’intégrer d’autres spécialités dentaires dans son cabinet, comme l’implantologie ou la parodontologie, afin d’élargir la gamme de services offerts aux patients et d’améliorer la rentabilité du cabinet.
Rôles de leadership
dans des associations professionnelles
De nombreux orthodontistes deviennent membres actifs d’associations professionnelles, telles que la Fédération Française d’Orthodontie (FFO) ou l’American Association of Orthodontists (AAO). Participer activement à ces organisations permet de contribuer à la structuration de la profession et à la définition de normes éthiques et cliniques.
Organisation de congrès et conférences : Les orthodontistes peuvent organiser ou participer à des événements internationaux où sont présentées les dernières innovations et techniques en orthodontie.
Élaboration de recommandations cliniques : Les orthodontistes impliqués dans ces associations participent à la création de recommandations cliniques qui influencent les pratiques professionnelles à travers le monde.
Perspectives financières et rémunération d’un orthodontiste
Rémunération moyenne d’un orthodontiste en France
- Lieu d’exercice : Les orthodontistes en grandes villes bénéficient d’un volume de patients plus élevé mais doivent également faire face à des coûts d’exploitation plus importants.
- Type de cabinet : Les orthodontistes salariés dans des cliniques gagnent généralement moins que leurs homologues libéraux, mais bénéficient d’une stabilité financière et administrative accrue.
- Volume de patients : Un orthodontiste qui traite 15 à 20 patients par jour peut augmenter significativement ses revenus, surtout avec des traitements comme les aligneurs invisibles, qui peuvent coûter entre 5 000 € et 7 000 € pour un traitement complet chez l’adulte.
Rémunération internationale
FAQ : Réponses aux questions fréquentes
Le parcours pour devenir orthodontiste dure en moyenne 10 à 12 ans, incluant 6 ans d’études dentaires et 3 à 4 ans de spécialisation en orthodontie (via l’internat, un master spécialisé ou une formation comme celle de l’École Supérieure d’Orthodontie – ESO).
En France, les frais universitaires sont relativement faibles (environ 500 € à 1 000 € par an). Les spécialisations, comme les DU ou l’ESO, peuvent coûter entre 10 000 € et 20 000 €. À l’étranger, notamment aux États-Unis, les coûts peuvent atteindre 100 000 $ à 150 000 $ par an.
Oui, des alternatives existent. L’École Supérieure d’Orthodontie (ESO) offre une spécialisation en orthodontie sans passer par l’internat. D’autres options incluent les Diplômes Universitaires (DU) en orthodontie ou les masters spécialisés dans des pays comme les États-Unis ou l’Espagne.
Un dentiste généraliste traite les pathologies dentaires courantes, comme les caries et les extractions, tandis que l’orthodontiste est spécialisé dans la correction des malocclusions et des anomalies dento-faciales. Il utilise des dispositifs comme des appareils fixes ou des aligneurs pour aligner les dents et corriger les mâchoires.
Exercer en libéral permet une plus grande autonomie et des revenus plus élevés, mais implique la gestion administrative et financière du cabinet. Le praticien doit aussi prendre en charge les coûts d’exploitation tout en garantissant la qualité des soins aux patients.
